Encore une fois de son marteau Il frappait le fer quit etait chaud oh... Encore une fois de son marteau Il frappait le fer quit etait chaud oh... Quand le soleil secouait enfin la nuit Il allumait un tres grand feu D'ou il faisait jaillir son pain, sa vie De fond de ses dix doigts noueux... Et d'une montagne d'efforts Il faisait ruisseler de l'or Et a ca metal en fusion Il imposait sa raison Encore une fois de son marteau Il frappait le fer quit etait chaud oh... Encore une fois de son marteau Il frappait le fer quit etait chaud oh...
Quand le grillon saluait enfin la nuit Quand s'eteignait le tres frand feu Il regagnait en paix son vieux logis Et son tres tres grand lit de buis Comme un vieux fleuve détourné Ce qu'il forgeait lui échappait Ce qui jaillissait de ses bras Faisait la fortune des rois, mais... Encore une fois de son marteau Il frappait le fer quit etait chaud oh... Encore une fois de son marteau Il frappait le fer quit etait chaud oh... Et pourtant dans cette vie Tout ce qu'il forge est a lui Les joies, les jours et les nuits...