Le messager courait dans votre beau visage
Y portant des reflets, des rêves, des présents
À la vitesse de la vie, silencieusement
Votre beauté en irradiait comme un pays sans âge
Le messager s'est tué sous votre paupière
Mais il creuse des rides souterrainement
Quelque part, on entend chanter sa voix amère
Derrière des maisons perdues dans les étangs
Un cheval vieux racle le sol, visage
Vous êtes seule au monde et vous pleurez souvent