En deuspi tout près des bats sous pillave ça part en cette-su, c'est la merde dans le secteur la vie de ma mère que j'en ai ras le cul, à la maison c'est tendu, plus personne se calcule, le daron s'en bat les yeuks ça fait dix piges qu'on se parle plus, je bousille ma santé dans la vie de rue et si ça continue, les flammes m'emporteront sous le bitume, j'aurais déja fumé des gens si y avais pas la sique-mu, j'ai zoné depuis tant d'années j'sais même plus où je me situe, j'connais trop peu de gens qui s'aime je me dois de rester nichen pour la fierté de la daronne mais je suis très loin d'avoir une vie saine, paix à leurs ames on compte les morts par dixaines, le cœur paralysé on sème la zizanie comme Zidane, quand j'parle avec ma 'teille faites augmenter les décibels, j'mène une vie paranormale j'fais plus de haram que les infidèles, encore sekrane à l'hotel, que Dieu me pardonne j'suis très loin d'être un modèle c'est la ha** il faut qu'je charbonne, Demande à ? met des caisses sur le parking, enfance remplie de violence la rage qu'on tout ces fils de harki, envoie un litron et c'est parti, ambiance sordide sur le terrain rien que ça torpille, pour les chauds derrière un ordi les même ? qui parle mal sur nous mais à la tess c'est des putains de ients-cli, la rue me fascine pas j'ai grandis avec des bandits depuis l'époque où les mec s'allumaient avec une musique fonky, intelligent ne veut pas dire gentil, j'ai plus de sentiment comme un brancardier dis-moi pourquoi mentir? Comment rester zen quand tous les problèmes s'empilent, j'ai mal au cœur quand je vois un ancien marcher au ralenti, mon cœur est blessé, la monnaie comme seul pansement, dès le réveil j'suis stressé, j'ai pas le moral je te le dis franchement, les frères se baisent entre eux le quartier c'est devenu un gang bang, des équipes des grosses bandes ici la haine est constante, un flic qui meure c'est toute la France qui en transe, un lascar qui meure j'vois que Marianne est contente, j'ai pas très envie de réfléchir sortez les 'teilles de Clan Campb', j'veux oublier ma putain de vie avant que les larmes s'enclenchent, j'suis en période de ha**, Sheitan vient nous titiller, des allers retours au habs beuacoup en sortent bousillés, on lache pas l'ham gros, impossible de roupiller, pour un bon billet tu te retrouves vite dans un bourbier, nos vies sont noires et ternes, de provinces jusqu'en banlieue parisienne c'est difficile rester zen, il faut investir au Bled vu que l'Etat français nous berne, on respecte pas les lois y a qu'Allah qui nous gouverne, j'vais niquer des mères j'ai une envie soudaine, la sauvagerie à l'état pure gros y a pas de soirée mondaine, ils peuvent pas blairer nos têtes, on va écourter ton règne, tu veux séjourner dans le binks tu vas y laisser ton zen, survivant de la te-stree, la France a fait de nous des rebelles, la République une kahba rien qu'j'la baise j'suis pas amoureux d'elle, réprèsente la déchéance les charbonneurs et les pères dignes, les parents fières, les mères seules, les frères et sœurs qui sont dans le din, caille-ra de haute standing, automatique dans le jean, crapule jusqu'à la mœlle beaucoup trop fière même sans un centime, ta liberté se résume à grailler du porc à la cantine, burkini zebi klaoui les républicains chantent des contines, j'connais leurs combines j'veux pas briller j'veux pas la gloire, demande à ? j'sais que t'as du mal à me croire, si je te disais que j'prend le rap game comme un pute d'un soir, al hamdulilah toujours le même face à mon mirroir, rien à foutre de ce que t'en penses, j'écoute pas ce que j´entends, si j'devrais aller dans ton sens j'devrais rafaler ton clan, j'revois ton visage quand j'ouvre mes yeux dans les abysses, Allah yarhma plus j'y pense plus mon cœur s'abime, j'suis qu'un frelon les abeilles et le miel m'attirent, pardonne moi habiba pour cette fin si dramatique, j'aimerais te dire je t'aime mais je peux plus, j'suis entouré de fils de pute j'revois ton sourire quand j'me bute, comment changer quand le Sheitan te persécute? J'ai zoné beaucoup trop tôt j'ai pas fais de longues études, Papa t'es où? Grosse question que je me pose, ton fils fout trop la merde c'est pas vraiment l'apotéose, j'fais confiance à personne demande à tous mes sauces est-ce que j'vais finir en enfer grillé comme une potatoes? On oublie la ière-pri mais on attend la baraka ambiance de herraga on prend la vie en dérapage, la fin sera tragique un peu comme celle de Arafat, à forçe de se croire à Caracas les djinns viennent nous dire marhaba, les djinns viennent nous dire marhaba...
Booska TRZ enfoiré, clique et partage négro, toujours dans les parages, j'fais fissurer la putain de porte de ton garage. Salope