Ils ont le même aspect que nous Quand nous sommes A genoux. Droits comme le temple d'Angkor, Leur tête Sur leur corps. On ne nous aimera jamais Et si la pluie coule désormais De nos visages, Pareil au fond d'un marécage, Nos idées se libèrent Et il nous faut tourner la page, Et il nous faut tourner la page. Il en est qui viennent au monde En riant. Leur dents tombent. On leur donne la religion Qui pa**e Dans la région. Si notre ciel est toujours gris
Et si notre ventre est rempli De pourriture, Ce n'est pas tant la nourriture Mais plutôt L'exemple De tous les dieux de nos temples, De tous les dieux de nos temples. Il en exite deux par an Qui cherchent Leurs parents. On ne nous aimera jamais Et si la pluie coule désormais De nos visages... Si notre ciel est toujours gris Et si notre ventre est rempli De pourriture... On ne nous aimera jamais... On ne nous aimera jamais...