Il sait qu'il ne pourra jamais revoir
La dernière paire de souliers qu'il s'est acheté
Son ventre flasque et gras est toujours là
Pour l'en empêcher
Devant son miroir
Il s'imagine qu'elle est là
Sa bedaine, bien plate
Mais c'est quand il se retourne sur le coté
Qu'il comprend pourquoi il aime autant bien mangé
na
na...na
na
Y'é toujours trop fatigué
Quand qu'y'arrive le temps de s'pencher
Ça y prend un «winch» pour se relever
Le grand Jaba était ben moins gros que ça
C't'une ma**e de gras entre deux bras