La liberté n'est pas de celles que l'on achète
Moi j'ai brûlé bien des années dans cette quête
Elle a résisté, moi j'ai tout tenté
Pour la prendre, mais en vain le vent avait tourné
A ses pieds je suis tombé
Et si j'ai perdu connaissance
Mon vieil orgueil ne m'a pas lâché et je pense
Un jour viendra où fort de mon talent
Je lui ferai le mal que je sais et en attendant
Je manigance,
Je manigance.
Je restais froid en tout lieu en toute circonstances,
J'étais le roi quand à te gâter l'existence,
Entrais d'un seul regard au fond de toi,
Et la nuit dans tes rêves je te glaçais d'effroi
Mais aujourd'hui, pas le temps de t'en expliquer les raisons,
Même si j'ai toujours une dent à disposition,
Le doute est entré là je le sens bien,
Un seul geste suffirait à me priver de mes attraits
Les manigances,
Les manigances.
Ma tête tourne, tourne, et fond dans la nuit où tantôt je régnais,
Je n'y vois plus rien, rien ni personne.
Et mon cœur sonne résonne d'une vérité que toujours je reniais,
De celles qui ne trompent jamais.
La liberté n'est pas de celles que l'on soudoie,
Moi j'y ai cru et je me perds dans ces bras.