Y'a pas de vaccin contre ma rage
Et l'écume à la bouche, je la partage sans retenue
La laisser, la laisser se consumer serait dommage
Je l'affiche, l'affiche et la partage comme un fromage normand qui pue
Qui l'eut cru, que derrière mon aspect débonnaire
Sommeille, une dépression du genre ouragan mammaire
(...) en moi, y'a trop, bien trop de colère pou
Pour envisager la vie sereinement
Alors avant que l'on m'aime à titre posthume
J'ose mettre en lumière, la face cachée de ma plume
Allant de larcins en naufrages, me laissant aller au suffrage
Incertains, d'une mouche peu sage
Oh oui, j'y perd mon latin
Je dépéris et m'affaiblis
Quand elle prend de l'embonpoint
Y'a pas de vaccin contre ma rage
Et l'écume à la bouche, je la partage sans retenue
La laisser, la laisser se consumer serait dommage
Je l'affiche, l'affiche et la partage comme un fromage normand qui pue
Qui l'eut cru, que derrière mon aspect débonnaire
Sommeille...
Pourtant j'aspire, me levant chaque matin
Comme un bel aspirateur dont le sac est trop plein
De poussière de moins pire, de particules d'humains
A voir les petits bonheur du quotidien
(X5)
Et pourtant j'aspire, le sac est trop plein
De poussière, de moins pire, du quotidien