JAMES RES :
Tu veux des thunes, un standard genre vécu d'un sans faf
Ouais mon cul, stoppe ta pellicule car putain j'm'en lave
Tes textes m'enfument la tête plus qu'un cendard
Ton opus dans mes enceintes c'est juste impensable
Tu vis dans le crime, sans dec', putain je m'en lave
T'as tuné ta caisse mec mais putain je m'en lave
Les putains que t'enjailles, tes butins sans TAF
Tes trucs bien rentables, putain je m'en tape
Tu t'affiches en public, t'aimes les putains de scandales
Tu brailles mais tu vaux pas plus qu'un lutin sans grade
Tes histoires de mec salope putain je m'en lave
T'oublies l'instant crâde quand ton cul grince dans le cab'
Ils tiendront leur promesses de merde, putain je pense pas
Donc ton scrutin de vandale sache que putain je m'en lave
Tu veux la gloire, pour toi c'est plus qu'un fantasme
Fous-toi tes conseils dans l'cul putain de vantard
REFRAIN :
Comme si j'étais sous la douche et me remettais une couche d'Ushuaïa
Putain je m'en lave
La merde que t'accouches par la bouche me gave plus qu'un chouia
Putain je m'en lave
BOSTON J & MIC L'ORI :
Célib, bisou, chérie, bijoux
Paradis, grossesse, petite fille, kikou
Copines, grosses fesses, régime, biloute
Tromperie, petite pouf, selfie, minou
Permis dans la poche, licence in the pocket
À Noël il fait -auch, hmm, rien à foutre
Les soucis qui t'approchent, ton père s'est fait racket
Ta mère a la Porsche, hmm, rien à foutre
Dans ton caleçon t'as la poutre (nan)
Rien à foutre (han) autant que l'état des loutres dans l'accouplement
Que tes tablettes et les tattoos SWAG sous l'accoutrement
Que la principauté d'Albert que t'as sur le bout de gland, fous le camp
T'as tout misé dans le paraître, la fumette
Gratte tes darons car t'es endetté, putain tu me navre
Tu refuses de soulever des palettes, tu rêves de paillettes
Tu te comportes comme une starlette, putain tu me gave
Pourquoi, pourquoi tu parles ? Mais dis-moi pourquoi tu te braques, hein ?
Évites de me faire tes 16 à l'oreille quand t'es plein de pillaves
Oh lalala, tu me la**es… Tes conquêtes, tes propal'
Tes options, tes problèmes de selle, tu te les gardes
J'ai rocké mes nouvelles Jojo, cool mais j'm'en bats
J'ai pé-cho un nouveau Lego, cool mais j'm'en tape
Réalisé un nouveau logo, cool il est fade
J'ai remarqué le boule de cette go', ta gueule, dégueula**e
Tes sautes d'humeur, tes rumeurs m'donnent envie de t'ouvrir le crâne
Tes coups de fils toutes les heures pour me faire part de tes peurs #psychopathe
Tu pa**es tout ton temps sur ton smartphone, t'as oublié que je te cause
Ouais car putain j'm'en lave
ASTROKIF :
J'arrive je crache mon R.A.P. et j'en ai rien à branler
En abrégé c'est R.À.B. t'as vu : Rien À Branler
J'écoutes ton petit discours jusqu'au score du foot, stop
T'as du me confondre avec quelqu'un qui en aurait quelque chose à foutre
f**, je m'éclipse, les discours tournent comme des hélices
A croire qu'ils trempent tous leurs lips dans le formol
Dans chaque milieu : concours taille pénis
Mais qu'est-ce tu veux que j'te dise, vas-y mec tape des hormones
Élevé au beat j'en ai pas grand chose à péter
Je regarde la connerie du monde et j'écoute Price à l'ombre et
J'écoule pas de sales idées, si on doit se croiser hombre
J'espère que t'auras bien intégré que j'en ai rien à branler
Donc les te-pu : R.À.B. ouais mon seul but est de rapper
Toi t'aurais pu être ouvert mais là t'as perdu la clé
Je fais pas du rap des villes je fais du rap de moi
Je connais devils et débiles mais je m'en lave, La Croix