(Jean-Jacques Debout/Roger Dumas)
Dans la forêt de l'automne, ce matin est arrivée
Une chose que personne n'aurait pu imaginer
Au bois de Morte Fontaine où vont à morte saison
Tous les cha**eurs de la plaine, c'est une révolution, car
Ce matin un lapin a tué un cha**eur
C'était un lapin qui, c'était un lapin qui
Ce matin un lapin a tué un cha**eur, c'était un lapin qui avait un fusil
Ils crièrent à l'injustice, ils crièrent à l'a**a**in
Comme si c'était justice quand ils tuaient les lapins
Et puis devant la mitraille, venue de tous les fourrés
Abandonnant la bataille, les cha**eurs se sont sauvés, car
Ce matin un lapin a tué un cha**eur
C'était un lapin qui, c'était un lapin qui
Ce matin un lapin a tué un cha**eur, c'était un lapin qui avait un fusil
Bien sûr ce n'est qu'une histoire, inventée pour la chanson
Mais chantons-leur cette histoire quand les cha**eurs reviendront
Et s'ils se mettent en colère, appuyés sur leurs fusils
Tout ce que nous pouvons faire, c'est de s'en moquer ainsi
Ce matin un lapin a tué un cha**eur
C'était un lapin qui, c'était un lapin qui
Ce matin un lapin a tué un cha**eur, c'était un lapin qui avait un fusil
Ce matin un lapin a tué un cha**eur, c'était un lapin qui avait un fusil