(Lionel Florence/Calogero Maurici)
On ne retient pas l'écume dans le creux de sa main
On sait, la vie se consume et il n'en reste rien
D'une bougie qui s'allume
Tu peux encore décider du chemin, de ton chemin
Crois-tu que tout se résume au sel d'entre nos doigts ?
Quand plus léger qu'une plume, tu peux guider tes pas
Sans tristesse ni amertume, avancer, avance
Puisque tout s'en va, tout s'en va
Yalla, yalla, yalla, yalla
Elle m'emmène avec elle, je t'emmène avec moi, Yalla
Tu trouveras le soleil dans le cœur des enfants
Sans nulle autre joie pareille, ni sentiment plus grand
Un mot d'amour à l'oreille peut en chacun réveiller un volcan
Pour qui l'entend
Yalla, yalla, yalla, yalla
Elle m'emmène avec elle, je t'emmène avec moi, Yalla
Yalla, yalla, yalla, yalla
Elle m'emmène avec elle, je t'emmène avec moi, Yalla
Tu trouveras le soleil dans le cœur des enfants