(Patrice Guirao/Calogero Maurici/Gioacchino Maurici)
C'est pas très loin de la ville
C'est pas plus grand qu'un cœur tranquille, c'est nos racines
Elles sont toujours restées loin
Là où on peut voir la mer sans fin et l'avenir, et l'avenir
Vouloir toujours cacher aux autres ses failles
Avoir l'envie que quelqu'un d'autre s'en aille
Avoir peur de revenir, avoir droit de devenir
On peut s'aimer, se désaimer, on ne ressemble qu'à ce qu'on fait
On peut rêver, se réveiller, on est semblable à ce qu'on est
Où que tu sois avec moi
Et où qu'on aille, on sera trois, le manque et nous
Tous les soleils des mois d'août, le manque de ce qui fait ce qu'on est
L'absence de tout, l'absence de nous
Vouloir toujours cacher aux autres ses failles
Avoir l'envie que quelqu'un d'autre s'en aille
Avoir peur de revenir, avoir droit de devenir
On peut s'aimer, se désaimer, on ne ressemble qu'à ce qu'on fait
On peut rêver, se réveiller, on est semblable à ce qu'on est
On a beau prendre des trains, ce s'ra toujours pour pouvoir enfin
Toucher les cimes, prendre racine