Une brise d'or sans venir entre la plume
J'avance sur le vent d'une page qui tourne
Les fleurs ont de mémoire le chemin de ta peau
Respirons l'air qui s'était reposé contre toi
Ne plus jamais expirer pour pouvoir te garder
Et tomber terre à terre au quatre coins de moi
Et plus jamais oublier pour pouvoir te garder
Et tomber terre à terre au quatre coins de moi
Monter à dos de petites cuillères
En ce printemps qui me pousse à fleur de peau
Et ton air à contre courant était dans la peau de mes mains
Cherche toujours à s'échapper et bien tu n'as qu'à t'en aller
Que je tombe terre à terre aux quatre coins de moi
Et enfin me refaire sans toi
Que je tombe terre à terre aux quatre coins de moi
Et enfin me refaire sans toi
Que je tombe terre à terre aux quatre coins de moi
Et enfin me refaire sans toi, sans toi