(Jean-Jacques Goldman) - reprise de Fredericks Goldman Jones
Ça m'a pris par surprise quand j'étais qu'un gamin
J'regardais tomber mes nuits et j'en attendais rien
Moi à Springfield Ma**achussetts, la vie coulait comme de l'eau
Un matin, j'ai pris perpète en ouvrant la radio
Ça s'appelait rock and roll, moi ça m'a rendue folle
Moi j'y ai rien compris, sauf que c'était ma vie
T'y comprends rien mais qu'ça sonne
Ça f'sait Un, deux, trois, pretty mama
Quatre, cinq, six, I miss you
Sept, huit, neuf, cannot get enough
Dix, onze, douze, I ain't got the blues
One, two, three, come on baby
Four, five, six, a kiss
Seven, eight, nine, you're on my mind
Ten, eleven, twelve, tell me when
Il paraît qu'il y en aurait qui se damnent
Pour du pouvoir, pour de l'or
Chacun sa façon de brader son âme
On les plaint pour ce qu'ils ignorent
Moi quand j'entends l'intro de "Hey Joe"
Oh je l'comprends mieux qu'aucun mot
Et rien ne me met dans le même état que la voix d'Aretha
Ça s'appelait rock and roll, moi ça m'a rendue folle
Moi j'y ai rien compris, sauf que c'était ma vie
T'y comprends rien mais qu'ça sonne
Un, deux, trois, pretty mama
Quatre, cinq, six, I miss you
Sept, huit, neuf, cannot get enough
Dix, onze, douze, I ain't got the blues
One, two, three, come on baby
Four, five, six, a kiss
Seven, eight, nine, you're on my mind
Ten, eleven, twelve, tell me when
Et c'était plus qu'une musique, un langage, une communion
Une religion laïque, notre façon de dire non
Des cheveux longs jusqu'au blouson
Mêmes idoles et mêmes temples
Nous allions tous même direction, nulle part, oui mais ensemble
Ça f'sait un, deux, trois, pretty mama
Quatre, cinq, six, I miss you
Sept, huit, neuf, cannot get enough
Dix, onze, douze, I ain't got the blues
One, two, three, come on baby
Four, five, six, a kiss
Seven, eight, nine, you're on my mind
Ten, eleven, twelve, tell me when