Alonzo - À la Dafpunck lyrics

Published

0 508 0

Alonzo - À la Dafpunck lyrics

[Intro] Quand on va voir sa pute, on met un casque à la Daft Punk, mamé [Refrain] (x2) François Hollande roule en scooter, Hollande roule en scooter Hollande roule en scooter, Hollande roule en scooter François Hollande roule en scooter, Hollande roule en scooter Hollande roule en scooter, Hollande roule en scooter [Couplet 1] François Hollande roule en scooter, coup d'queue, coup d'cœur Casque à la Daft Punk, minimum pour une avaleuse Casque à la Daft Punk, minimum pour un rafaleur Une demi-heure minimum sur ton postérieur T'es un voleur, un cambrioleur Pied-de-biche, gants, minimum si tu cherches de l'or Si le bélier frappe ta porte à six heures, surtout : ferme-là Si pendant ta peine, ta hlal est hnine, vas-y, marie-la Cramé comme la Louboutin de Chine, ta meuf a un faux sac à main La B.A.C. nous bouffe la vie, la chatte à la fille à De Villepin Devine 'sin, devine 'sin qui on a vu sur un deux-roues Avec sa sousou, bisous-bisous sur la che-bou ? [Refrain] (x2) [Couplet 2] Avant d'la quen', t'as pris du Cialis, à la Daft Punk Tu donnes des infos à la police ? À la Daft Punk T'as l'hijab mais tous les soirs tu glisses, à la Daft Punk Quoi ? À la Daft Punk, à la-à la Daft Punk Tu vas t'arrêter, j'sais qu'ta cliqué, t'as pas liké devant ton pédé Mais t'es piqué, j'vais t'expliquer, j'vais tout clipper, tu vas l'quitter Quoi ? À la Daft Punk, tu kiffes sur ta belle-sœur Tu dis qu't'es un braqueur mais seul ton phone a un chargeur C'est toi qui cuisine ? T'as appelé un traiteur J'reviens dans un quart d'heure, fais-moi des pâtes au beurre Pâtes au beurre, président, qui on a vu sur un deux-roues Avec sa sousou, bisous-bisous sur la che-bou ? [Refrain] (x2) [Outro] Et ouais, j'vais faire comme monsieur le président J'vais niquer le rap français à visage découvert Hey, pour ceux qui m'attendent : #RDC, je le sortirai quand je voudrai Attendez rien mais attendez-vous à tout 2014 mamé ! Hey, comorien des sarcophages, comorien nouveau Spike Miller, on les baise !